mercredi 31 octobre 2007

Dirty Sexy Money and Bvlgari,a good deal


Accro. Je suis accro aux séries américaines. Primo, parce que la télé n'est plus regardable, aucune nouveauté, toujours les mêmes têtes, des jeux débiles, des téléfilms vus et revus, et pourtant j'étais assez fan des productions françaises. Deuxio: parce que mon amoureux adore les séries depuis toujours (il se rappelle de répliques, de personnages, de décors, de détails hallucinants - je ne le vois jamais devant la télé, va comprendre), moi, je découvre ce monde et devient addict "grave". Pourtant, je n'ai jamais regardé Ally Mc Beal, Sex and the city (je déteste cette série, un concentré de fashion irrésistible mais des discussions de filles qui ne me passionnent absolument pas et Sarah Jessica Parker, beurk), Urgence et autres séries au sein d'un hopital, hors de question, j'étais restée à Dallas, Dynastie, Côte Ouest, Melrose Place (Michael Mancini, where are you?) et Les feux de l'amour (un Victor Newman qui est le sex-symbol de la série depuis ... plus de 20 ans, un record). Autant le dire tout de suite, des sériés mémères-ménagères. Et puis chéri est arrivé, avec 24h (I love Jack Bauer), Lost (I love Sawyer, Jack, Jin, ...), Desperate Housewives (I love Carlos Solis - le sosie de mon lover), Battlestar Gallactica (I love Captain Adama son), Prison Break (I love Michael ). Bon, ok, il est arrivé avec pas mal d'arguments de bogossitude et j'ai craqué.

Dirty Sexy Money est une des séries événements de cette rentrée de la chaine américaine abc. Elle dépeint l'histoire de la richissime famille Darling (quel nom!), au coeur de New York. Le patriarche n'est autre que Donald Sutherland, et l'un de ses fils, William Baldwin (moins sexy que dans le navet Sliver et Affaires Privées, un des films cultes de ma période adolescente). Le joaillier italien Bvlgari sponsorisait la soirée de présentation de la série, certaines actrices portaient des bijoux Bvlgari (la magnifique collection "New parentesi" entre autres). Intriguée, j'ai voulu regarder la série pour voir pourquoi Bvlgari sponsorisait l'événement. La réponse, je l'ai eue dès le 3ème épisode. Une des scènes de l'épisode se déroule dans une boutique Bvlgari. La marque est citée à plusieurs reprises, de façon assez prononcée, et je sens que cela ne sera pas la seule fois. Hormis cela, je suis tombée sous le charme de la famille Darling, complètement déglinguée, avec des psycho-rôles très intéressants, des répliques acerbes, bref, c'est poilant. Vivement la suite.

2 commentaires:

Daphné a dit…

Je découvre ton blog grâce à Géraldine et j'aime beaucoup!En tant que bonne american-series-fan(moi aussi!) tu viens de me donner très envie de regarder cette série que je ne connais pas encore!Shame on me!

estelle a dit…

@Daphné: je ne sais pas si j'ai bien vendu la série mais le scenario est vraiment bien écrit (d'ailleurs, cela rebondit sur la grève actuelle des scénaristes des séries US, ils ont un véritable talent, mais les dollars vont dans les poches du producteur, du créateur et des guest-stars acteurs, alors que le succès des séries leur revient en partie).