mercredi 26 décembre 2007

Mon make-up des fêtes

S'il y en a bien une dont j'admire à chaque fois le make-up c'est Sophie Ellis-Bextor. Sa beauté n'est pas en reste et quelque soit le maquillage ou la tenue qu'elle porte, elle est toujours très jolie, ça aide. Alors là, pour les fêtes, je me disais que je tenterais bien un maquillage à la Murder on the dance floor. Teint blafard, joues et lèvres de Blanche-Neige et des yeux bling-bling émeraude comme il faut, make-up achevé par un vernis Chanel Blue Satin n°461 (envie de changer de mon habituel rouge), ce serait parfait. Les paillettes dans les yeux, vous avez essayé? On achète ça où?

mardi 25 décembre 2007

Ma Linda de Noël

Pas de Noël pour moi sans tartans écossais. Ma déco idéale de Noël est assez tradi, rouge et vert, avec de l'écossais partout. Sur cette photo, ma Linda posait en scottish girl sous l'objectif d'Arthur Elgort, dans le Vogue US de septembre 1991. Une belle série célébrant sa toute fraîche rousseur.

Un bling noël à tous!


jeudi 20 décembre 2007

Les cadeaux de dernière minute

Tu veux quoi pour Noël? Et ton fils (il a 14 mois), il a fait sa liste au papa Noël? Heu, comment dire, j'sais pas, et vous, vous savez? Alors j'adore les idées cadeaux de dernière minute, que l'on peut voir sur les couvs des magazines de cette semaine. J'ai trouvé un petit jeu d'encastrement pour mon bout'chou qui le changera des vaches ou autre animal, sur le site Atypyk, histoire de le plonger dès son plus jeune âge dans notre belle société de consommation. Just for fun!

mardi 18 décembre 2007

Ma Linda est bling-bling!

En 1985, ma Linda aimait déjà le bling bling, lorsqu'elle portait des bijoux Van Cleef and Arpels, dans un publi-reportage pour Vogue. Et en plus, elle porte un perfecto, top tendance aujourd'hui. Ma Linda, c'est la plus forte!

lundi 17 décembre 2007

Des joyaux chez Dalloyau

Recherche de bûche de Noël oblige (pas de Noël sans bûche, dinde farcie et marrons glacés pour moi), je feuillette, par pur plaisir des yeux, l'offre spécial fêtes des traiteurs de la Madeleine. Dalloyau joue la carte bijou en offrant du bling bling à sa collection : les oeufs Trilogie à coque dorée, argentée ou cuivrée, qui font référence au thème Trilogy, cher à la Diamond Trade Company et les 3 ors de Cartier, la bûche Rivière de diamants, l'entremet chocolat La pochette du soir et l'entremet glacé Diamant de glace, composé de glace vanille, sorbet griotte, parfait duja, griottes confites, meringue Dalloyau, et pâte d’amande. J'en rêve, mais le prix fera mon choix se rabattre sur la toujours très bonne collection Picard, et probablement la bûche glacée Marron, Caramel, Gianduja, (et si je la goûtais avant Noël, juste pour être sûre qu'elle est vraiment bonne?).

samedi 15 décembre 2007

J'ai tésté Uniqlo à La Défense

Hier avait lieu l'inauguration de la première boutique du géant japonais, Uniqlo, à La Defense. Le magasin n'est pas très grand, et je le connais bien puisqu'il remplace le Disney Store, où je fus jadis Cast Member, dans mes années étudiantes. Il y avait un tel buzz autour que j'avais hâte de la découvrir. La boutique est jolie, les couleurs très attirantes, la vitrines et ses modèles portant les pulls en cachemire rafraîchissante par ses couleurs et sa douceur. D'un coté, les vêtements pour homme, pulls, jeans, et les tee-shirts en boites (mon chéri qui adore Astro, était servi, voir photo), de l'autre la femme avec la même offre, pulls en cachemire, quelques robes et accessoires, et des jeans. J'étais tout de même un peu déçue, car pas de coup de coeur possible, je reviendrais peut-être si je cherche un pull en cachemire, car les couleurs étaient très jolies. J'attends de voir si le magasin de Paris aura une offre plus intéressante.

jeudi 13 décembre 2007

Madredeus n'est plus. Vive Madredeus!

Pascal Obispo avait raison, "si j'existe, ma vie, c'est d'être fan, oui d'être fan". Nan, je ne suis pas fan d'Obispo, loin de là, hormis cette chanson qui me traine souvent dans la tête et dans laquelle je m'identifie à 100%. Je suis fan de Madredeus. Depuis 20 ans, c'est à dire 1987, date de leur premier album, Teresa Salgueiro avait à peine 17 ans et des kilos d'ados (moi 11, années bien sûr, les kilos en trop sont arrivé plus tard), mais une voix, que même Christina Aguilera n'aura jamais. Madredeus c'est 14 albums (dont Madredeus Electronico, album de remix electro remarquable, dont le remix de Telepopmusik) planants, une voix sylphide et frémissante, qui oscille entre une reine des glaces et une femme épanouie, dont les guitares, le synthé, la basse, mais aussi le violoncelle et l'accordéon (dans les 5 premiers albums) nous transportent loin, quelque part dans l'Océan. J'aime Madredeus. Parce qu'ils m'emportent. C'est ce que j'aime dans la musique, se sentir ailleurs.Depuis quelques jours, vous pouvez entendre 3 morceaux de Madredeus (Vem, de l'album O espirito da paz, 1994, mon préféré, Ainda, de l'album Ainda, Bo de Lisbon Story de Wim Wenders et A sombra, de l'album Os dias da Madredeus, 1987, premier album du groupe, enregistré dans l'église du couvent de Xabregas, à Lisbonne, d'où un son très "église" qui annonce les premices d'un talent incroyable), parce que la saudade est trop forte et le chagrin quelque peu pinçant. En effet, je lisais il y a quelques jours cette nouvelle anéantissante: Teresa Salgueiro, la voix qui a grandit au sein de Madredeus ne chantera plus avec le groupe (en année sabatique depuis plus d'un an), elle souhaite se consacrer à sa carrière solo. Quoi, Teresa, tu abandonnes celui qui t'a créée? Celui qui a fait cette voix, cette présence sur scène? Oui, tu as une véritable personnalité, c'est vrai, mais alors, et Madredeus, et ses musiques, ses textes si touchants, et mes voyages? Et mon vingtième concert de Madredeus, que je voulais fêter pour vos 20 ans? Sans Madredeus, c'est un peu de mon voyage au Portugal qui s'efface. Reste les cds, les photos, les souvenirs, et surtout la larme qui coule sur certaines chansons, ça au moins, je le garde. Ceux qui veulent des conseils en Madredeus et qui souhaitent devenir des Madredeusiens, je suis là pour vous faire partager mon amour pour ce groupe, pour cette musique, et pour cette voix. Merci Madredeus.

mardi 11 décembre 2007

Linda et moi

Linda, je l'aime depuis 1985. A l'époque, elle portait les cheveux longs et ondulés, des yeux de linx, le plus beau nez du monde. Un coup de foudre! Moi, j'avais 9 ans et je déchirais les photos de Linda dans les salles d'attentes de mon dentiste (oh combien de magazines ai-je saccagé!). Depuis, ma passion pour Linda na cessé de croître (elle a surtout vidé ma tirelire, 5 francs d'argent de poche par semaine, Vogue qui coutait déjà 40 francs à l'époque, 50 francs pour les versions étrangères, j'ai du en ranger beaucoup des caddies pour gagner 5 francs de plus par semaine), de mes années d'adolescentes où le papier peint de ma chambre disparaissait sous les pubs ou couvs des "top models " du moment, le top five, le top ten, les 50 ans du Vogue British, les années Elite Models, les ELLE spécial top model, le film Models de Peter Lindbergh (personne mieux que toi ne sait sublimer ma Linda, bon, Steven Meisel savait aussi la mettre en valeur), ... Et puis Linda est née au mois de mai, moi aussi, ses parents ont immigré, les miens aussi, elle joue de l'accordéon, moi aussi (enfin, je jouais, 10 ans d'orchestre symphonique, ça me manque parfois), et finalement, son fils Augustin est né le 11 octobre 2006, le mien trois jours plus tard. Coincidence? Pour moi c'est un signe, on trouve toujours des signes là où il n'y en a pas pour se dire que le destin est incroyable et que nous avons été choisi par lui. Un jour, Myke Tyson avait offert à Naomi Campbell (très brève liaison) un manteau de fourrure brodé de diamants dans le dos avec cette inscription , (je n'arrive pas à retrouver cette photo, que j'avais vu dans un Vogue anglais du début des années 90, si quelqu'un la trouve, je rêve de la revoir): "Naomi is like diamonds, is forever". Pour moi, c'est tout pareil: Linda is like diamonds, is forever! Voilà pourquoi j'inaugure une nouvelle catégorie: Ma Linda du Mardi. Des photos de Linda il y en a pléthore sur le net, mais je posterai içi mes images préférées, mes scans les plus précieux, comme la photo ci-dessus, tirée d'une de mes séries préférées, Linda et Karen (Mulder) en Bonnie and Clyde pour le Vogue british, dans les nineties.

lundi 10 décembre 2007

Un week-end aux Transmusicales

Ces derniers week-end ont plutôt été musicaux pour moi. Entre le concert de Zebramix, soirée boum régressive irrésistible, puis la chanteuse portugaise Dulce Pontes dont la voie unique donne des frissons et les interprétations africano-asiatiques rappellent la chanteuse de jazz Maria João (pas du tout connue en France, quel dommage, une référence en Allemagne), et finalement ce week-end, à Rennes, pour les Transmusicales, une bonne piqûre de musique electro et rock electro (peu de coup de coeur cette année, mais bien aimé les The Whip - la chanson Trash j'adore, le concert d'Etienne de Crécy - dont vous trouverez une mini-vidéo ci dessous, qui le montre dans un cube tel l'Académie des neuf, super effet en live - et de Calvin Harris), dont on ne ressort jamais sans un bon rhûme, mais avec la tête pleine de musique et une incroyable envie de dancefloor.

Le festival des Trans est aussi l'occasion d'une balade à Rennes, entre les crêperies typiques (La Pommeraie, 16, Rue Baudrairie, déco recup très sympa et pas cher), les musées (La criée, espace d'art contemporain, qui présentait une expo de l'artiste écossais Roderick Buchanan - vidéo et photos) et l'expo Donuts au Delkographik, studio-boutique de design graphique à l'acceuil très sympathique, qui offrait des oeuvres sur le thème du donuts, des boules à facettes donuts, un monstre-donuts, un coussin donuts et autres photos et tableaux. Bref, j'en suis sortie avec une toile Jesus love Donuts. Si vous passez par Rennes allez-y. Je me suis aussi surprise à vouloir essayer des baskets. Des baskets moi??? Je hais les baskets comme je deteste les jeans. Mais à Rennes, je suis tombée sur plusieurs boutiques de baskets très créa, très originales, dont Scott Premium (22, Rue Le Bastard), où les baskets étaient colorées, dorées, argentées, pailletés, pied-de-coquées, prince-de-gallées, étoilées, j'ai failli craquer, mais non, non, non, je n'achèterai pas de baskets (enfin, pas tout de suite). En tout cas, ça fait du bien un week-end en Bretagne, c'est vivifiant.

jeudi 6 décembre 2007

La joaillerie Louis Vuitton par Pharell Williams

Ayé, elle arrive bientôt la ligne de joaillerie "dessinée" par le rappeur Pharell Williams pour la maison Louis Vuitton (depuis le temps qu'on en parle). Du (vrai) bling bling chez Vuitton, apparemment Marc Jacobs en serait déjà addict, si l'on observe sa transformation physique et vestimentaire de ces dernières années et plus précisemment lors du dernier défilé Vuitton où il apparaissait (so Tom Ford) bijouté : bague sertie, pendentifs plaques, boucles d'oreilles diamants, comme les rappeurs et autres footballeurs. Un avant-goût de la collection by Pharell? Nan, j'attends de voir.

mercredi 5 décembre 2007

Look like

J'adore les soirées déguisées. C'est bien THE occasion pour pouvoir s'éclater avec des fringues, sans avoir peur de tomber dans le mauvais goût ou dans le too much. Récemment, je suis tombée sur un blog suédois (je vous rassure, je ne comprends pas le suédois, pas un mot, mais j'aime bien de temps en temps regarder ce blog), et sur ces magnifiques déguisements. Je pense que la photo se passe de commentaires, tout est parfait, dans les moindres détails, coiffure, lunettes, bijoux, Starbucks, moi j'adore.

mardi 4 décembre 2007

Gucci au cinéma

Ridley Scott s'apprêterait à tourner l'histoire tumultueuse de la dynastie Gucci. Après la vie de Coco, Lagerfeld confidential, maintenant la famille Gucci, qui sera la prochaine maison qui inspirera le 7ème art?

dimanche 2 décembre 2007

Anna Wintour, ennemi modeux n°1?

Dimanche dernier, la chaîne italienne Rai Tre diffusait le magazine d'investigation Report, dont le sujet portait sur le monde de la mode et plus précisément sur le Made in Italy, "Schiavi del lusso" (Esclaves du luxe). Anna Wintour (ci-dessus buste de Karen Caldicott) y apparait dans sa notoire gentillesse et simplicité. En effet, on y voit une Wintour qui exige aux créateurs italiens de réduire la Milano Fashion Week à 4 jours au lieu de 7. La Wintour s'excuse avec le dollar. Le lendemain de son départ pour la fashion week de Paris, elle a envoyé aux stylistes et créateurs italiens un lettre de remerciement pour avoir pu ecourté la fashion week milanaise : "Nous tous du Vogue US, vous sommes grès pour le calendrier de cette semaine. Nous avons pu réduire au minimum notre séjour à Milan et cela est particulièrement utile en vertu de la faiblesse du dollar par rapport à l'euro. Nous espérons que le calendrier milanais puisse rester ainsi pour le futur. Nous vous remercions. Salutations distinguées, Anna Wintour". J'ai beaucoup de mal avec cette excuse. Pour Milan, cette situation est dramatique, une fashion week réduite c'est moins de temps pour les défilés, donc pour les achats, et pour l'économie de la ville (hôtels, restaurants, ...). Milan et l'Italie auraient-ils perdu de leur faste et de leur éternel sens inné de l'élégance? Il est vrai que les jeunes qui percent aujourd'hui viennent plutôt de Londres ou Anvers, mais l'Italie reste l'autre pays de la mode, où la qualité est primordiale, le patrimoine industriel textile incroyable et l'amour des jolies choses unique.
L'emission égratigne aussi le monde de la presse et l'omni-puissance du groupe Condé Nast, je vous passe les critiques envers Franca Sozzani du Vogue Italia, les caméras cachées dans les usines toscanes qui produisent des sacs D&G, Fendi ou encore Prada, qui viennent directement de Chine, et sur lesquels il ne manque que les finitions (je parle bien évidemment des collection premiers prix en tissus, dont la collection Nylon de Prada, prix prod 28€, vérifié en boutique par la journaliste, 440€, rien d'anormal pour du nylon et du Prada). Au final, une redac chef va même jusqu'à parler de "pub occulte" (toujours en caméra cachée), et à dire "Quel journaliste de mode fait vraiment du journalisme aujourd'hui?". L'émission était vraiment très intéressante et surtout sans langue de bois. Si tout cela est un fait accompli en France, en Italie, apparrement ils ont encore du mal à accepter qu'ils ne font plus légion dans le monde de la mode et que le "made in" intéresse de moins en moins de clients. Un mal pour le Made in Italy.